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La dîme et les offrandes

La dîme est le dixième de notre revenu mensuel qui est la part que tout adorateur a l’obligation absolue de verser à Dieu. Elle est une bénédiction et une sécurité pour les affaires financières et tous les autres compartiments de la vie du concerné. C’est une sorte d’épargne chez Dieu qui se charge de la fructifier.

Par ailleurs, lorsque nous ne payons pas la dîme, nous sommes des voleurs aux yeux de Dieu car c’est lui le propriétaire de tout, nous ne sommes que des intendants.

Ne touchez jamais l’argent de la dîme car c’est la propriété de Dieu, sinon la sentence peut être terrible. Le passage Actes 5:1-10 nous parle de l’histoire d’Ananias et Sophina sa femme qui ont vendu une propriété et sont venus payer moins de 10% ; et l’Esprit-Saint les a frappés de mort subite.

La dîme représente les prémices de tout ce que nous avons ; elle est utilisée pour couvrir les frais du culte, pour assurer le soutien financier des sacrificateurs. Que tu paies la dîme ou pas, tu finiras toujours par la payer ; le diable, l’accusateur montera un dossier contre toi, tu perdras le procès au ciel et il bloquera tes grâces ou te frappera et tu finiras par faire une dépense qui profitera au monde des ténèbres.

L’institution de la dîme est basée sur la compréhension selon laquelle tout appartient à Dieu. Les Hommes doivent être reconnaissants envers Dieu. La dîme est obligatoire, et si quelqu’un enseigne le contraire, alors il n’est pas de la lumière et comme disait l’Apôtre Paul, qu’il soit anathème.

En outre, la dîme seule ne suffit pas pour notre épanouissement. Il y a aussi l’offrande, c’est-à-dire ce que vous décidez de donner à Dieu selon la mesure de votre joie ou de ce que vous estimez qu’il a fait pour vous : c’est dire merci à Dieu. Elle peut être financière ou matérielle. Elle peut se faire dans la vie de l’Homme de Dieu ou dans son organisation s’il en a une, et/ou dans les lieux où il y a des nécessiteux, selon les orientations de l’Esprit-Saint. L’avantage avec L’Homme de Dieu surtout quand il est véritablement oint, c’est qu’il a l’obligation de vous bénir, et la bénédiction descend sur le champ.

Les plus grands ministères sont soutenus et financés par les donateurs et partenaires qui ont compris que la façon la plus rapide et la plus efficace de gagner encore plus d’argent c’est de financer l’œuvre de Dieu.

Subséquemment, dans le paiement de nos dîmes et offrandes, nous devons faire preuve de libéralité ; les israélites l’avaient si bien compris que lors de la construction du tabernacle, ils apportèrent les dons plus qu’il n’en fallait, et l’Éternel les bénit particulièrement.

En revanche, et par exemple en lisant Aggée 1:3-8, à cause du fait que le peuple d’Israël refusait de s’occuper des choses de Dieu financièrement, les gens investissaient beaucoup mais tiraient très peu de leurs investissements, car le dévoreur faisait très bien son chemin.

Dans le passage Malachie 3:9-12, Dieu s’engage personnellement, pour ceux qui paient régulièrement leurs dîmes et offrandes, à chasser le dévoreur de leur vie.

On a également la semence qui est un outil de négociation avec Dieu (quand quelque chose ne marche pas dans vos vies ou quand nous voudrions obtenir quelque chose) : guérisons, victoires professionnelles, enfants, délivrances, paix et harmonie dans son foyer, protection de son conjoint, de ses enfants, de ses parents, de ses frères, d’un ami, protection de ses finances, de son couple… Elle est volontaire et à hauteur de ce qu’on demande à Dieu. Notons que la semence doit être quelque chose qui nous coûte, qui a de la valeur à nos yeux.

Notons également que nous ne devons pas faire des offrandes et semences sans avoir réglé la dîme : c’est contre-productif.

Par ailleurs, l’Apôtre Paul insiste sur le fait que :

  • Nos dîmes, offrandes et semences doivent être faites dans la joie et non avec le mauvais cœur (2 Corinthiens 9:7) ;
  • L’Homme de Dieu doit être nourri par le temple, c’est-à-dire par les dîmes, offrandes et semences ; il doit vivre de son travail puisque conformément à la Parole de Dieu, l’ouvrier mérite son salaire.

Au demeurant, les dîmes, offrandes et semences font partie du système de redistribution, d’équilibre, de salaire et de rémunération pensé par Dieu.